un peu d'ère à respirer l'air du temps que je passe maladroitement (mais je fais des efforts)) un certain temps à fotographier...

Il va y avoir beaucoup de fotos mais c'est comme ça que j'appréhende ce qui m'entoure, avec beaucoup de.. de quoi d'ailleurs. Beaucoup de fotos ; de foto synthèse. D'exercices de mémoire et de laisser-aller.

La décontraction est indispensable pour qui pense pouvoir effleurer ce qu'il touche jusqu'à le respirer sans le meurtrir de tous ses arriérés.

La photographie est une transition face à tout ça, la maladresse, l'opiniâtreté, la contemplation, le sport, la psychologie, la philosophie, le sexe, dieu, la nature, les raisons, les déraisons, les aléas de la vie, le raisonnement, le matérialisme, la poésie, le sport et l'action indéterminée en surface parce que d'inconscience.

Au milieu de tout ça il y a un col vert qui s'envole. J'ai pressé la détente de mon révolver (de l'espagnol volver, ou volver a ( je ne me souviens pas exactement) mais volver veut dire "retourner, retourner à) ;

revolver, c'est clair, c'est un double retour en arrière que je m'octroie en appuyant de l'index, comme tu pourras le faire en survolant ces image qui nous appartiennent, bien que j'en sois l'auteur, dès que tu les regarde...


ici c'est là !

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